Analyse du sang vivant – Microscopie à fond noir

« Le sang est le reflet de notre terrain c’est-à-dire l’image de notre santé. »

L’analyse du sang vivant à l’aide d’un microscope à fond noir a été développé par le professeur Dr Günther Enderlein.

Que peut-on détecter avec l’analyse de sang sur fond noir ?

L’analyse de sang sur fond noir offre des informations détaillées sur la composition du sang. Contrairement aux analyses conventionnelles où le sang est fixé avant les analyses, la microscopie à fond noir par l’analyse du sang vivant permet d’examiner en temps réel une image de votre sang vivant et du comportement des globules et divers composants sanguins.

Cette technique révolutionnaire détecte les perturbations et les déséquilibres en temps réel sur l’état de notre terrain, donc de notre santé avant l’apparition de symptômes et est donc en plus d’un outil thérapeutique de traitement, un outil précieux de prévention.

Cet examen permet, en quelques minutes, de voir l’évolution du terrain et de confirmer si le traitement en cours semble efficace.

Elle se pratique avec une goutte de sang capillaire prise sur le bout du doigt ou au lobe de l’oreille sous un microscope. Au moyen d’une caméra vidéo l’image apparaît sur un écran d’ordinateur, permettant au patient d’observer des structures vivantes et en déplacement comme des micro-organismes (bactéries, virus, levures, parasites, autres) dans le sang en temp réel.

Avantage du diagnostic du sang vivant :

  • La rapidité de diagnostic face aux problèmes anciens ou récents
  • La possibilité de tirer au clair des cas dont le diagnostic est ambigu
  • La Méthode est inoffensive, non invasive et avec une innocuité totale
  • Elle permet de poser un diagnostic précoce, encore au stade fonctionnel (avant l’apparition de la pathologie).
  • Statut sanguin et immunitaire.
  • La présence de cristaux de cholestérol, de sucre, d’acide urique.
  • Manque de vitamines et de minéraux.
  • Déséquilibre hormonal.
  • La présence d’une infection fongique, bactérienne, parasitaire.
  • Le degré de déshydratation, l’acidification du corps.
  • Problèmes de digestion.
  • Le degré d’intoxication chronique, l’exposition du corps aux métaux lourds.

« La santé est un bien trop précieux pour être aux mains des seuls médecins. » – Pr. Al Minkowski

L’examen du sang vivant permet l’évaluation :

  1. Diagnostics peu clairs, légère fièvre, symptômes inexpliqués.
  2. Problèmes de peau, manifestations allergiques, infections fongiques.
  3. Fatigue chronique, douleurs musculaires, articulaires.
  4. Gastrite, mauvaise transformation des aliments, malabsorption, affections intermittentes du tractus gastro-intestinal.
  5. Maladies et symptomatologies chroniques du nasopharynx, bronchite, toux persistante.
  6. Troubles intestinaux, hépathiques, des voies biliaires, maladies inflammatoires et chroniques du système digestif.
  7. Longues maladies organiques chroniques.
  8. Covid long.
  9. Maladies du système endocrinien.
  10. Des phénomènes d’oxydation poussées (stress oxydatif).
  11. Des troubles de la nutrition : carence et excès vitaminiques, anémie.
  12. D’une mauvaise absorption des graisses et des protéines.
  13. Du PH sanguin relatif.
  14. De la présence anormale de micro-organismes ou microbes (Bactéries, virus, levures, parasites) des métaux lourds ou de radicaux libres.
  15. De la viscosité sanguine générale par l’étude des formes d’agglutination des globules rouges expliquera certaines données de pathologie générale et de microcirculation : risque d’infarctus cardiaque ou cérébral ainsi qu’à tout autre accident ischémique, troubles de nature thromboembolique
  16. Des différents troubles de l’immunité (suppression ou auto-immunité), de viroses chroniques, d’exposition aux radio contaminants. Mais aussi sur différents gites infectieux occultes ou connus.
  17. D’une candidose systémique ou non.
  18. Des troubles hépatiques, rénaux.
  19. Des situations d’allergies et d’intolérances alimentaires.
  20. Des multiples intoxications
  21. D’évaluer le degré de stress et les dommages mutagènes causés par l’électrosmog deviennent visibles.
  22. D’observer des cellules cancéreuses qui sont déjà visibles dans les premiers stades (lésions précancéreuses) et sont donc plus faciles à traiter.
  23. D’établir une approche thérapeutique très ciblée dont le succès peut être prouvé immédiatement.
  24. D’évaluer des processus pathologiques dégénératifs.
  25. De détecter une pollution environnementale : toxines environnementales, métaux lourds (mercure/amalgame).
  26. D’observer des modifications des graisses et des protéines sanguines.
  27. De contrôler les effets des thérapies médicales et naturopathiques conventionnelles.